Malabar


7 – donner un nom – Libre – écriture 
automatique

(ça commençait bien puis doucement le fragmentaire s’est imposé, les hamsters ont circulé, la tête a pris le dessus)

L’océan – la mer – l’océan – la mer – le gris le vert le tendre le ventre le ventre de la mer les poissons ne se noient pas… l’océan vert, vert de gris… au soleil couchant se violine sans violence, je fainéante devant la côte Malabar sans un chewing-gum sans cigarette, la musique rose pénible qui dit om pani quelque chose, un chien blanc s’aplatit devant un chien blond… les saris rouges, les saris jaunes, les saris ocres trempent dans l’eau verte de la mer d’Oman. Au pays Malabar, je bois une kingfisher… oiseau bleu… étiquette… cet oiseau bleu qui file comme l’éclair… je pousse de grand ô, ho , oh ! chaque fois qu’il m’apparaît… c’est bon comme cette gorgée de bière devant l’Océan Malabar.

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